Planifier librement ses rendez-vous avec Framadate

Classé dans : Framasoft | 23

Temps de lecture 2 min

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Framadate.org

Aujourd’hui, nous avons le plaisir de vous annoncer un nouveau site en “beta test” sur le réseau Framasoft  : http://framadate.org

Vous avez besoin de trouver la meilleure date pour une sortie au resto entre amis  ? Vous voulez savoir quelle serait l’heure qui conviendrait le mieux pour cette importante réunion de travail  ? Vous voulez savoir qui amène la bière, les pizzas ou le dessert  ?

Alors Framadate est fait pour vous  ! :)

Plutôt que d’échanger de nombreux emails (avec toujours le boulet qui oublie de faire «  répondre à tous  » et dont on perd donc trace du message), il suffit de créer un sondage sur Framadate.org et d’en envoyer le lien aux participants (par email, par Twitter (ou identica), Facebook (ou diaspora :) ), etc).

Quelques clics plus tard, vous saurez quelle est la date qui convient le mieux. On peut difficilement faire plus simple  !

Framadate est un service proposé librement et gratuitement par le réseau Framasoft. Inspiré du service Doodle, il est basé sur l’application libre STUdS ! développée par l’Université de Strasbourg, Framasoft ayant principalement relooké et sécurisé l’application. Le code source de Framadate est bien évidemment disponible.

<teasing>
Framadate est un service qui fait partie du projet “Framatools”, qui visera à sensibiliser le grand public à la décentralisation des données et applications.

En effet, de plus en plus de logiciels fonctionnent directement au sein des navigateurs web (d’où l’importance de navigateurs libres et de confiance)  : c’est le fameux “cloud”. Cependant, cette informatique “dans les nuages” pose un certain nombre de problèmes  : protection de la vie privée, propriété des données mais aussi sécurité et fiabilité du service.

Framasoft va donc proposer un certain nombre de services en ligne basés sur des applications libres [1].

Évidemment, cela peut paraître paradoxal, puisqu’on y retrouve sensiblement les mêmes problématiques de sécurité et de fiabilité du cloud “privé”. Cependant, il faut voir ces services comme des «  produits de démonstration  » fonctionnels et maintenus par nos soins. Un site de sensibilisation aux dangers du cloud sera mis en place d’ici la rentrée, et expliquera pourquoi et comment installer, chez soi ou pour son organisation, sa propre instance de l’application. </teasing>

Notes

[1] Framasoft propose d’ores et déjà le site de rédaction collaborative Framapad, par exemple.

Suivre pyg:

Délégué général de Framasoft

Pierre-Yves Gosset est le délégué général de l'association depuis 2008. Tel un contrôleur aérien, il coordonne les différents projets de l'association en s'assurant que les avions décollent et atterrissent (à peu près) à l'heure.

23 Responses

  1. JosephK

    @John : pas la peine d’essayer de lancer des cailloux pour provoquer un éboulement, c’est écrit en toute lettre dans l’article :
    > Inspiré du service Doodle, il est basé sur l’application libre STUdS! <
    Mais j’oubliais… Les trolls ne savent pas lire…

  2. vvillenave

    Bravo pour ce service, absolument nécessaire !

    C’est sympa CeCill-B (DeMille?), mais il serait opportun d’encourager tous les développeurs d’applications Web à jeter un coup d’œil (long et appuyé) à la licence AGPL… Juste comme ça (d’ailleurs il me semble que la compatibilité GPL peut jouer ici, en d’autres termes peut-être que Framadate pourrait utiliser l’AGPL même en se servant de code sous CeCill-B. À voir.)

  3. burbumpa

    super, merci pour cette mise en place !

  4. YaKa

    Génial, aKa va pouvoir planifier le compte-rendu de::

    Framasoft en visite chez Microsoft ou le rendez-vous en terre inconnue

    « Désolé pour le délai. Vais essayer de pondre mon petit compte-rendu dans la semaine. »

    aKa qui disait le 27 mar. 2011

  5. Joe Gourdin

    Vous feriez presque de l’ombre à Pollen …

  6. pyrrhon

    Super. A quand un service de messagerie/email libre ?

  7. pyg

    @pyrrhon : on nous a déjà posé la question d’un service gratuit de mail Framasoft, voilà la copie de la réponse faite :
    « Même si cela correspond tout à fait à l’état d’esprit du projet Framatools, cela nous est malheureusement impossible, car la mise en place et la maintenance d’un tel service réclamerait au bas mot 2 à 5 personnes à temps plein pour assurer la disponibilité et la fiabilité du service.

    Ainsi, pour Framadate, nous pouvons gérer le service de façon bénévole, car son utilisation n’est pas « hyper-critique » (= si un sondage est inaccessible quelques heures, les conséquences seront minimes, et il sera toujours possible de se tourner vers… Doodle 🙂 ). Dans le cas du mail, une indisponibilité peut avoir des conséquences bien plus importantes, et nous ne souhaitons pas proposer un service de mauvaise qualité.

    Mais, pour rebondir sur votre proposition, oui, nous pensons qu’un service public ou parapublic devrait proposer ce type de service (c’est ce qu’à fait La Poste avec laposte.net, malheureusement, le service n’a pas évolué en 8 ans, et La Poste n’est plus aussi publique
    qu’alors).
    Framasoft ne dispose que d’un poste à temps plein (le mien), qui doit gérer la continuité de service des projets actuels (http://fr.wikipedia.org/wiki/Framas…) ainsi que ceux à venir (comme Framadate.org ou Framaphonie.org). Un service de mail gratuit ouvert à tous est donc clairement hors de notre portée. »

  8. Simon

    @vvillenave : la CeCILL-B (oui ce truc horrible qui dit en 500 lignes ce que la BSD dit en 10) est la licence choisie par STUdS, il semble logique de garder cette licence afin que les contributions puissent être reprises.

    Donc même si Framadate pourrait effectivement être sous AGPL (comme l’est la partie web de Framapack) car la CeCILL-B autorise le changement de licence, cela ne me semble pas une bonne idée vis à vis du projet source (STUdS)

  9. Philippe

    Pour faire un peu l’avocat du diable 🙂 , proposer toutes ces applications en ligne « librement » , c’est à dire sans que cela apporte à priori de moyens financiers supplémentaires pour les gérer, ce n’est pas prendre le risque de décevoir les utilisateurs par des interruptions de service voir pire par une perte de données ?

    Renvoyez les gens chez Doodle quand FramaDate est HS ou GoogleDoc quand le Framapad déconnecte, n’est-ce pas prendre le risque de donner une image « négative », non professionnel du Libre ?

    Bravo en tout cas pour les bénévoles qui ont contribué à mettre en place ces services et qui contribuent à les faire fonctionner.

  10. pyg

    Philippe :

    Ma réponse courte c’est « tu as raison : si voulez un service garanti, n’utilisez pas Framadate (ni Doodle, d’ailleurs) ».

    Ma réponse longue :
    Peut être n’a tu pas lu la FAQ Framadate ? http://framadate.org/apropos.php#do
    ===============
    « Quelles différences entre Framadate et Doodle ?
    Aujourd’hui, le danger pour le logiciel libre ne provient plus de Microsoft ou d’Adobe et de leurs logiciels qu’on installe sans avoir le code source, mais des applications web « dans les nuages » proposées comme services par des entreprises.

    Cela pour au moins 4 raisons :
    1- sécurité : aucune garantie ne peut vous être apportée quant au fait que les données soient correctement sauvegardées et protégées, ni que le
    code source « officiel » soit réellement celui que vous utilisez en ligne.
    2- fiabilité/perennité : le service peut tomber en panne, et rien ne garantit que la société Doodle sera toujours là demain et maintiendra le site
    3- propriété des données : beaucoup d’entreprises s’autoproclament co-détentrices de vos contenus « clouds » (ex: Facebook impose une clause de partage des droits sur vos contenus, vos données, vos photos)
    4- vie privée : une entreprise – comme Doodle – doit gagner de l’argent (et il n’y a aucun mal à cela). Mais si elle est en difficulté financière, elle peut décider de changer ses conditions d’utilisation et vendre vos données à des tiers (alors que Framasoft, asso loi 1901 d’intérêt général, n’aura jamais d’intérêt à le faire).

    À cela s’ajoute le problème, plus éthique, de la publicité.

    Les problèmes 1 et 2 concernent aussi Framadate.org : rien ne garantit la sécurité et la fiabilité du service (d’autant plus que les administrateurs systèmes de Framasoft sont bénévoles).

    Par contre :
    – les problèmes 3 et 4 ne sont pas d’actualité avec Framadate, exploité par une association loi 1901
    – et surtout, Framadate fait partie d’un projet plus global (Framatools) qui vise justement à sensibiliser le grand public à la problématique du « cloud ». Cela peut sembler paradoxal, mais bien que proposant le service Framadate.org, nous allons surtout encourager les organisations à installer leur propre instance du logiciel afin de maîtriser totalement leurs données. »
    ===============

    En clair : on ne souhaite concurrencer personne, ni surtout laisser accroire qu’on propose un service top qualité. STUdS est une bonne application, mais on aurait pu aussi choisir Pollen, Papillon, RDVZ ou d’autres…

    L’idée de fond, c’est de prouver qu’il y a des alternatives libres valables aux services cloud privés (dont Doodle, mais surtout ceux de Google), et ***que vous pouvez les installer chez vous ou pour votre entreprise ou asso***

    Le problème, c’est qu’une fiche Framasoft, ça ne suffit pas : il faut que les gens puissent manipuler « pour de vrai » et pas seulement une démo (ou pire, un .tgz à télécharger sans explications complémentaires).

    Le côté « beta » de Framadate, c’est parce qu’il n’est pas encore inclus dans un service plus global (Framatools) : http://forum.framasoft.org/viewtopi
    Ca viendra cet été.

    Donc, oui, le service est sans garantie (c’est marqué dans la FAQ, d’ailleurs), mais on va surtout s’en servir pour essayer de sensibiliser le grand public au danger du cloud (ce qui n’est pas chose aisée).

  11. Philippe

    Pyg je sais bien que utiliser Framapad est bien mieux qu’utiliser Doodle, tu prêches un convaincu 🙂 Je n’ai pas besoin de lire la FAQ pour en être convaincu et préférer personnellement utiliser les services de Framasoft quel qu’en soit les « risques ». Pour moi c’est une évidence. Mais qui lit les FAQ 😉 ?

    Mais si tu peux offrir aux gens les points 1 et 2 en ayant les points 3 et 4 d’un Framasoft je te fiche mon billet que plus jamais ils n’iront plus voir ailleurs 😉 Mais pour offrir 1 et 2 il faut des moyens et des moyens important. Et je sais bien que pour obtenir des niveaux de disponibilité de 99,999%, les coûts sont exponentiels et que donc on touche au problème du financement dont on a parlé encore récemment ensemble.

    Et je pense (et j’expérimente concrètement) qu’il y a des façons de faire pour une association qui lui permette de faire « du lourd » sans perdre son âme. Il faut parfois prendre des chemins de traverses et qui j’espère permettront bientôt de montrer. Ou alors j’irais me terrer au fond de ma tanière de honte d’avoir osé pensé que c’était possible 🙂

    Mais ne pas croire que je cherche à dénigrer le travail de qui que ce soit comme j’ai bien pris le soin de l’indiquer. Je m’inquiète plus qu’autre chose, car je suis bien conscient de l’énergie que doivent déployer des gens comme toi ou tous les autres bénévoles du réseau Framasoft !

  12. pyg

    Aucun souci, je ne l’ai pas pris comme un dénigrement mais une question. (Le blog est un lieu de débat, et « le débat, j’aime ça ! » ((c) (R) TM))

    Ma réponse est peut être tombé à côté de ta question : comment financer des services web gratuits ?
    Ma réponse est alors à double détente (no Schwarzy inside) :
    1- ça dépend des services
    2- there’s no free lunch : quelqu’un paiera au final

    Pour les services, tu auras pu lire dans ma réponse à pyrrhon (au dessus) que Framasoft ne proposera pas, par exemple, d’email gratuits et libres. Maintenir des serveurs emails en haute disponibilité, on n’a pas les ressources.
    Framapad.org (basé sur Etherpad) est un service « limite » : ça réclame une machine dédiée uniquement à cela (environ 300€ / an) et je t’assure que depuis la mise en service, ça nous aura pris qq heures de maintenance.
    Framadate.org, c’est quand même bien plus light : c’est plutôt robuste, et surtout bien moins critique pour l’utilisateur final. C’est typiquement ce genre de projets qu’on souhaite mettre en avant pour Framatools.

    Pour ce qui est du financement : je l’ai dit plus haut, j’aurai préféré que ça soit un service public ou parapublic qui prenne cela en charge.
    La campagne de communication Hadopi, c’est 3,2 millions d’euros. Avec ça, tu finançais sans probleme pour plusieurs années un centre de ressources public avec suffisamment d’admin sys pour gérer correctement cela. (bon resterait le pb de confidentialité des données).

    Mais ce n’est pas le cas, donc, on fait quoi ? (ce n’est pas une question rhétorique, on se l’est vraiment posée en interne).

    La proposition que l’on fait, c’est de proposer des applications web simples et efficaces, gratuitement et librement, sans empêcher quiconque de faire un business model dessus (si l’entreprise Foobar veut proposer un FoobarDate, elle peut le faire et longue vie à elle), tout en sensibilisant le public à la notion de cloud.

    Alors évidemment, oui, la question que tu pose est pertinente.
    Qui finance ? pour combien de temps ? avec quelle qualité de service ?

    Mais comme à Framasoft on est des pragmatiques, on s’est dit qu’on allait le financer avec les dons de nos gentils donateurs, pour aussi longtemps qu’on pourrait, et avec la qualité de service que peut proposer une asso orientée « informatique » ayant deux admin sys bénévoles et un permanent.

    C’est pas la réponse idéale, j’en suis conscient, mais au moins c’est mieux que de ne rien faire non ? 🙂

  13. Philippe

    >C’est mieux que de ne rien faire non ? 🙂
    Mais c’est une évidence ! Il faut faire et vous faite, mais reste la façon de faire. Et je pense qu’il faut essayer de prendre d’autres chemins que j’explore ( http://philippe.scoffoni.net/x-repe… ) et sortir du schémas traditionnel bénévolat / dons sans pour autant abandonner le format associatif qui reste le meilleur pour défendre l’intérêt général et les biens communs.

    Il existe d’autres possibilités de financement pour les associations dont le mécénat d’entreprise. Mais je sais que cela fait peur à cause du risque de perte d’indépendance. Mais encore une fois c’est une question de méthode et de modèles. Mozilla est-elle dépendante de Google et se fait-elle guider ces choix ? Je ne pense pas et il y a des partenaires tout aussi riches que Google (bon pas tant que ça 🙂 ) et bien moins « nocifs » pour une association. N’oublions pas les entreprises utilisatrices…

  14. pyg

    @Philippe : j’avais bien lu ton article, et si sur le fond j’étais plutôt d’accord avec toi (« + de pouvoir aux utilisateurs. Il faut ouvrir le cercle. »), j’avais trouvé que ça faisait un peu trop teasing : « j’ai une idée, inscrivez vous pour voir de quoi il s’agit ». Du coup, ça me paraissait paradoxal de dire qu’il faut ouvrir tout en faisant du beta-brainstorming privé à la Google+ 🙂

    Le mécénat d’entreprise, ça peut effectivement fonctionner, notamment sous la forme de mécénat de compétences (http://www.mecenat.culture.gouv.fr/…)
    Pour caricaturer : une entreprise met à disposition, par exemple d’une asso comme Framasoft, un développeur ou un graphiste pour disons 25H de travail, évaluées à 100€ TTC/H, soit 2500€. Framasoft, asso reconnue d’intérêt général, reconnait alors reçu une participation (non financière) de 2500€ et peut « rendre » 60% de cette somme (virtuelle) sous la forme d’un reçu fiscal (soit 1500€). Au final, les 25H de graphistes n’auront couté « que » 1000€ à l’entreprise. Elle aura par contre :
    – fait un « don » à Framasoft
    – améliorer son image
    – permis à son graphiste de « sortir » de l’entreprise, pour travailler sur un projet moins corporate (et puis vachement sympa, puisque c’est pour bosser sur du projet Frama et qu’on est bien évidemment supers sympas 😉 ). C’est bon pour son moral, et ça fidélise le salarié en évitant le turn-over.

    En dehors des dons de grosses fondations, je trouve cela bien plus efficace que du « don » pur.

    Maintenant, si le mécénat de compétences peine à se développer, ce n’est pas parce que l’offre peine à rencontrer la demande (y a déjà des sites comme http://www.koeo.net ) mais parce que le mécénat de compétences :
    – n’est pas inscrit dans la « culture » française
    – est tout simplement méconnu

    Bref, moi je lance un appel aux lecteurs du Framablog (enfin, ceux qui sont allés jusque là ! 🙂 ) :
    – vous travaillez en indépendant ou pour une entreprise ?
    – vous avez des compétences que vous trouveriez utiles pour Framasoft ? (graphisme, dev, gestion de projet, tests, etc)
    – vous seriez prêt à faire un don de vos compétences à un projet Framasoft ?
    – vous voulez bénéficier de 60% de réduction d’impôts ?

    Alors contactez nous ! (contact at framasoft.net)

  15. Jb

    Juste une petite remarque sur la licence : le choix de CeCill-B par le projet originel STUdS s’explique peut être tout simplement par le fait … qu’il est était développé par une fac. Rappelons que cette licence a été crée par les instituts de recherches français (CNRS et INRIA) (et le CEA qui est un peu à part dans le système de recherche français) très présent dans le monde universitaire (et oui, les profs. sont avant tout les chercheurs d’un labo, qui est souvent une unité CNRS, et ils sont de plus parfois membre d’une équipe INRIA).

  16. philippe

    @pyg :
    > »j’ai une idée, inscrivez vous pour voir de quoi il s’agit ». Du coup, ça me paraissait paradoxal de dire qu’il faut ouvrir tout en faisant du beta-brainstorming privé à la Google+ 🙂
    Il ne s’agit pas de beta-brainstorming, j’ai écrit qu’il s’agissait de « participer à un projet ». On en est plus à l’idée mais à la mise en pratique. Ce qui n’est pas la même chose…

  17. KooK

    Excellent, ça remplit bien son rôle.
    J’ai même réussi à convertir certains de mes collègues.
    Seul bémol, comme sur tous les sites de framasoft (et tant d’autres), la balise « <noscript> » n’est pas utilisée, et à part le clic sur le bouton qui ne provoque rien, pas moyen de savoir que JavaScript est nécessaire.

  18. Gourmet

    L’idée est pertinente.
    Hormis un service de courriel qui est une gageure à maintenir à partir que quelques comptes servis (notamment lorsqu’on y adjoint un véritable service d’antispam et d’antivirus) Framasoft pourrait participer à des services de base comme le DNS, le relais SMTP, iPABX (répondeur), tenir une base de MTA indésirables, un système de géolocalisation (recenser des bornes WiFi), etc.
    Je pense donc à un ensemble de services ne réclamant rien en temps de maintenance mais permettant de bâtir une infrastructure plus résistante.

    Au-delà on peut imaginer des services plus voyants comme un calendrier accessible en CalDav, un gestionnaire de projets, etc.
    Mais tout cela réclame du temps, de la maintenance et repose la question des données personnelles.

    Bravo et bonne continuation,

    db

  19. swap38

    Simple, rapide, efficace => indispensable.

    Je me permet de suggérer ces améliorations mineures :
    – rendre le commentaire de l’auteur plus lisible (détaché du reste et/ou plus gros)
    – permettre reporter les modifications d’horaires à toutes les dates d’un coup après la création du sondage (pour éviter de refaire chaque date/heure une par une)

    Mais je suis déjà conquis et je recommanderais à tous ce service comme une excellente alternative à doodle.

  20. flo2mars

    Super, exactement, ce que l’on espérait depuis plusieurs années 🙂
    On va en installer un sur notre serveur 🙂
    qq questions, suggestions :
    – Il est possible de modifier son vote, mais est-il possible de le supprimer ? et aussi de modifier son nom ?
    – Est-il possible de faire un sondage OUI/NON/peut être ? (option très importante pour trouver une date quand beaucoup ne sont pas très dispo comme chez les militants associatifs)
    Merci beaucoup !